Revue de presse 2019
«La plupart des bibliothèques sont fermées»
Dans les salles apprêtées par les Jeunes cdH, l’atmosphère est studieuse et le silence règne. Comme dans les bibliothèques en période de blocus, on y trouve des étudiants qui surlignent des passages, d’autres qui tapent des synthèses et d’autres encore qui réécoutent des cours. La plupart ont des écouteurs dans les oreilles. « C’est le stress de fin d’année », confie Manon, étudiante en journalisme à l’Ihecs. N’ayant aucun lien avec les jeunes Humanistes, elle a découvert l’existence de cette initiative via un événement Facebook. Venir ici est pour elle « une manière d’avoir un nouveau décor », sachant qu’« à la maison, c’est un peu compliqué ». Un avis que partage Davy Kanga, étudiant en droit à Saint-Louis. « En période de fêtes, la plupart des bibliothèques sont fermées. Ici, on a la possibilité d’étudier tranquillement, sans être dérangé par la famille ou d’autres amis ». Siam, en Bac 1 en traduction, a participé au blocus dirigé de Saint-Louis. « Malheureusement, ce n’était qu’une semaine. Quand je suis tombé sur l’annonce Facebook du blocus collectif des Jeunes cdH, j’ai été directement intéressée ». Un peu plus loin, on trouve Martial, un membre des Jeunes cdH qui fait des études d’ingénieur civil à Louvain-la-Neuve. « On a le calme, l’espace, on est nourri, c’est gratuit… certaines entreprises organisent des blocus collectifs pour plusieurs centaines d’euros. Ici, c’est gratuit. Quoi de plus ? » Satisfaite, Opaline Meunier affirme : « Notre objectif ici est de montrer qu’en étant solidaires et qu’en se serrant les coudes, on peut tous se tirer vers le haut et s’émanciper pour réussir nos études. »
Opaline Meunier
Mons en Mieux obligé de reporter ses réunions
En principe, l’opposition Mons en Mieux devait se réunir ce mardi soir afin de préparer le budget communal 2020. Mais les nouvelles fonctions d’informateur attribuées à son chef de groupe Georges-Louis Bouchez ont complètement chamboulé l’agenda des conseillers communaux…
Dès qu’ils parviendront à se réunir, les conseillers communaux de Mons en Mieux devront inévitablement aborder un autre sujet : qui sera désormais leur chef de groupe ? Georges-Louis Bouchez le restera-t-il comme certains le souhaiteraient ? Si ce n’est pas le cas, qui pourrait prendre sa place ? Aux dernières élections communales, Opaline Meunier avait réalisé le troisième meilleur score après G-L. Bouchez et R. Miller (qui n’est plus conseiller). Elle était suivie de Françoise Colinia, Florent Dufrane et Hervé Jacquemin. Jusqu’à présent, aucun ne s’est déclaré ouvertement candidat chef de groupe…
Opaline Meunier
La Montoise Opaline Meunier est à la COP25
La conférence des Nations Unies sur le climat se tient en ce moment à Madrid. La Cop 25 réunit 196 nations signataires de l’accord de Paris. Alors que phénomènes météorologiques extrêmes se multiplient partout dans le monde, les pays sont appelés à relever leurs ambitions climatiques dans le but de limiter à 2 degrés, voire seulement 1,5 degré le réchauffement d’ici 2100. Opaline Meunier figure parmi la délégation belge envoyée à Madrid. La Montoise a pour mission de rapporter en Belgique quelques bonnes pratiques pour lutter contre les dérèglements climatiques.
Durant ses trois jours de présence à la COP25, la Montoise aura un œil sur toutes les nombreuses initiatives positives pour le climat mises à l’honneur dans le hall des expositions. Le fruit de ses observations viendra enrichir la réflexion au sein de son parti et au niveau belge. « Par exemple, tout à l’heure, j’ai assisté à une conférence donnée par une jeune suédoise de 28 ans. Dans plusieurs pays du monde, ils ont installé des flotteurs le long des côtes, là où se trouvent des brise-lames. Ces flotteurs sont connectés à des petites turbines pour créer de l’électricité. À Gibraltar, 50 % de l’électricité est générée grâce à ce procédé, » développe Opaline Meunier.
Opaline Meunier
Opaline Meunier: «Former 450 à 500 jeunes cdHd’ici 3 ans»
Opaline Meunier, présidente des jeunes cdH depuis le 1er septembre, veut mettre les jeunes au cœur de la « refondation » de son parti, entre autres grâce à des formations. Au niveau montois, la conseillère communale Mons en Mieux devra composer avec un Georges-Louis Bouchez désormais président du MR.
Georges-Louis Bouchez est devenu président du MR. Vous attendiez-vous à ce qu’il atteigne une telle fonction quand vous l’avez rejoint à Mons en Mieux ?
J’ai rencontré Georges-Louis quand j’avais 16 ans, lui devait en avoir 22 ou 23. Assez vite, vous sentez qu’il peut atteindre de très grandes fonctions. Ça ne m’étonne pas et ça n’étonne personne dans son entourage.
Son élection pourrait avoir des conséquences à Mons en Mieux. Le groupe va-t-il se réorganiser ? Pourriez-vous exercer des fonctions supplémentaires dans le groupe ?
Au niveau du projet et du travail politique à Mons, ça ne changera rien. Le président de Mons en Mieux, François Jacquemin, ne change pas non plus. On n’en a pas encore parlé, la réunion n’a pas encore eu lieu, mais mon opinion personnelle, c’est que Georges-Louis doit rester chef de groupe. Et je crois qu’aucun membre de MeM ne veut qu’il quitte sa fonction. Le projet commun et le projet de ville constituent les briques de MeM, Georges-Louis est le ciment. Si vraiment, il refuse de rester, ce qui lui appartient et serait tout à fait respectable, je crois que la question des scores serait prise en compte (avec 1.727 voix, elle a le 3e score de MeM, derrière GLB et Richard Miller, NDLR). Mais personnellement, je préférerais qu’il reste chef de groupe.
GLB avait proposé le rapprochement avec le cdH, auquel Maxime Prévot a dit non. Vous qui travaillez dans le même groupe que lui au niveau local, pourriez-vous le suivre dans cette voie ?On a caricaturé énormément ses propos, qui étaient beaucoup plus nuancés. Le fait que le MR était en pleine campagne n’a probablement pas aidé. Il n’a jamais dit « je veux acheter le cdH », ou « fusionner » ou « l’absorber ». La réflexion qu’on doit retenir, aussi bien de GLB que de Maxime, c’est que le paysage politique est en train de prendre une torgnole. Aussi bien au sud, qu’au nord et que dans tous les pays européens, d’Amérique du nord… On se retrouve avec une émergence des populismes et un monde en crise. La question est : comment répondre à ces enjeux ? Est-ce qu’il faut une absorption du cdH par le MR ? Non ! Mais est-ce qu’il faut que les démocrates se parlent pour faire face aux extrémismes ? Oui, bien sûr !
Le cdH est en reconstruction. Il renouvelle ses instances dans les arrondissements et les sections locales. Où en est-on à Mons-Borinage ?
Le bureau politique du cdH a décidé que durant l’année 2019, au plus tard en 2020, sauf quelques exceptions, les arrondissements et les sections locales doivent être renouvelés. Ce samedi, il y a eu le renouvellement de l’arrondissement de Mons-Borinage. Il y avait une seule équipe qui rassemblait des gens d’un peu partout dans l’arrondissement ; elle a obtenu 83 % des voix. Je suis membre de l’équipe, en tant que relais jeunes et relais national. Au niveau de la section locale, ça se fera dans les semaines, au plus tard dans les mois qui arrivent.
Quelles seront vos missions et priorités dans l’arrondissement ?
Je veux que toutes les ressources qu’on peut aller chercher au parti au niveau national soient mises en place à Mons-Borinage. La formation est un enjeu essentiel, surtout quand on a de nouveaux élus. Une autre priorité est la convivialité, l’animation. Il faut qu’on ait plus de rencontres. Je voudrais qu’il y ait plus d’événements nationaux au niveau de Mons-Borinage. Et en tant que présidente des jeunes, je serai particulièrement attentive à ce que les jeunes à Mons-Borinage, en Wallonie et à Bruxelles, soient une force vive mise en avant.
Depuis le 1er septembre, vous êtes présidente des jeunes cdH (-de 35 ans). Comment comptez-vous reconstruire la parti de cette position ?
Au niveau du processus de refondation du cdH, les jeunes ont un rôle essentiel. Il faut qu’ils soient le cœur du cdH car ils sont le cdH de demain. On est une génération qui est face à la crise et est en perte de sens. Cette génération va percevoir le monde de façon complètement différente. Les jeunes sont les portes et les fenêtres qui ouvrent vers l’extérieur du parti ; c’est par eux qu’on arrivera à être ancré dans les enjeux de demain et que le parti pourra anticiper ces changements de société. Mon objectif est de construire ensemble le parti de demain, puisque c’est nous qui devrons l’assumer.
Concrètement, comment faire en sorte que les jeunes soient écoutés ?
Le meilleur moyen pour que les jeunes soient efficaces, c’est qu’ils comprennent bien la société. À partir de janvier, je lance un grand processus de formation accessible aux jeunes cdH. Il y aura des formations sur différents thèmes. Par exemple il y aura du media training pour apprendre à répondre aux journalistes, et des matières plus techniques, telles qu’apprendre à lire un budget. On a des centaines de jeunes cdH qu’on n’accompagne pas forcément lors de leur premier mandat, et je veux corriger ça. C’est aussi les faire réfléchir à la société de demain, car notre société est en mutation. Mon mandat dure 3 ans. D’ici là, je veux qu’à peu près 450 à 500 jeunes cdH soient passés par le cycle de formation. À titre personnel, pensez-vous que le cdH doit rester dans l’opposition pour se reconstruire ?
À l’époque, je m’étais exprimée publiquement : pour moi, la cure d’opposition est salvatrice. Ça peut faire du bien à tout le monde de se concentrer sur la refondation pendant quelques années. Mais je me rends compte aussi que le pays est dans une situation très difficile au niveau fédéral. Si le cdH, par ses cinq sièges, peut aider le pays à se sortir par le haut de cette crise, je ne suis pas fermée à cette idée, notamment en appuyant certaines lois depuis l’opposition. Au cdH, on est réalistes et on est au service de l’État et des gens. C’est dans notre ADN.
Comment reconstruire la section locale de Mons en vue des communales 2024 ? Vous êtes cdH au sein de Mons en Mieux et soutenue par les instances de votre parti. Mais on sait qu’il y a eu des frictions avec le cdH local.
Je ne suis pas seule à décider. Vous pouvez me demander comment je l’envisage mais je suis loin de décider ce qui va se passer aussi bien dans l’élection de la section locale qu’en 2024. On va essayer d’aller vers le rassemblement le plus large possible, avec toutes les tendances actuelles, et d’en faire une force de proposition -elle l’a été ces dernières années- mobilisatrice et aussi militante. Et une force d’animation. Tout ce que je peux dire, c’est que je ne suis pas candidate à la présidence de la section locale de Mons.
Opaline Meunier
« En 2003, mon demi-frère est mort au carrefour du Cheval Blanc...»
Samedi soir, une marche était organisée pour Arif (voir p.5). Le jeune homme de 22 ans a été renversé le week-end précédent alors qu’il traversait la N6 pour se rendre au « Buddha Rouge », à Asquillies (Quévy).
Cette actualité a touché Opaline Meunier : « Il y a eu le décès d’Arif maintenant et le décès de Jonathan (Kalimira) en septembre. L’année dernière en décembre, c’était un livreur, Mehmet. Il y a beaucoup trop de tués à ce carrefour extrêmement dangereux. Il faut absolument appeler la Région wallonne à l’aménager : ce pourrait être un feu pressoir, un rond-point, des rambardes sur les côtés… Ce n’est pas mon métier de déterminer ce qui est le mieux mais en tant qu’élue de la région et particulièrement pour les jeunes, je demande des aménagements. » La conseillère Mons en Mieux a vécu un drame personnel à ce carrefour. « En 2003, mon demi-frère est mort là. Je sais ce que c’est pour une famille de perdre un jeune homme. Je ne veux pas qu’une autre famille montoise vive ce qu’on a vécu et, pourtant, c’est le cas aujourd’hui. On est presque en 2020 et il y a toujours des morts au même endroit. »
Opaline Meunier
Georges-Louis Bouchez, de polémiste à président du Mouvement Réformateur
Le jeune agitateur de la politique belge francophone Georges-Louis Bouchez – cheveux en bataille, sourire carnassier et tatouage assumé – a accédé vendredi à la présidence du MR.
Mais son ambition dévorante lui joue très vite des tours. Echevin des Finances de la ville de Mons à 26 ans, il est écarté en 2016 par le bourgmestre Elio Di Rupo qui n’en peut plus du manque de collégialité du chef de file local du MR. Au même moment, Georges-Louis Bouchez perd son siège de député wallon qu’il occupait depuis 2014 en remplacement de la ministre fédérale Jacqueline Galant, sa meilleure ennemie. Celle-ci venait alors de faire les frais d’un remaniement après des manquements au sein de son cabinet. Groggy, Georges-Louis Bouchez se relève et repart au combat en 2018 à la tête d’une liste « Mons en mieux ! », avec la candidate cdH Opaline Meunier.
Opaline Meunier
Opaline Meunier élue présidente des jeunes cdH pour un mandat de trois ans
La conseillère communale montoise Opaline Meunier a été élue vendredi soir à Namur à une très large majorité comme présidente des jeunes cdH au terme d’un scrutin sans surprise - elle était la seule candidate -, a annoncé la vice-présidente du parti humaniste, Céline Frémault.
Cette ancienne présidente du syndicat étudiant Unecof (Union des étudiants de la Communauté française, entre-temps dissoute) un moment en rupture de ban avec le parti humaniste pour avoir été élue sur la liste d’ouverture mais à dominante libérale «Mons en Mieux» lors des élections communales du 14 octobre dernier succède, pour un mandat de trois ans, à Christophe De Beukelaer.
Opaline Meunier
La Montoise Opaline Meunier prend la présidence des jeunes cdH: «Les jeunes qui se déplaceront pourront voter»
Opaline Meunier, 26 ans, conseillère communale Mons en Mieux !, s’apprête à prendre la présidence des jeunes cdH. Le vote a officiellement lieu ce vendredi soir, à Namur. Reste que la Montoise est la seule candidate.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers ce nouveau défi, cette nouvelle fonction ?
Ça fait quelques mois qu’avec plusieurs cdH, on y pensait. En même temps, je connais bien « la boutique ». J’ai pris ma carte du cdH à 15 ans. Cela fait donc 11 ans que je suis inscrite.
C’est ce vendredi que le vote a lieu. En même temps, vous êtes la seule candidate…
Oui. L’appel à candidature a duré un mois et demi, mais personne d’autre n’a déposé sa candidature. Il n’y a pas de procuration. Ce sont donc les jeunes cdH qui se déplaceront qui pourront voter.
Opaline Meunier
CPAS de Mons et canicule: «J’en reste presque sans voix!»
La position de la conseillère communale Opaline Meunier n’a pas manqué de faire réagir. La semaine passée, dans notre édition du 26 juillet, nous vous parlions du travail de l’ASBL Les Anges de Mons. Les bénévoles distribuent des bouteilles d’eau aux SDF et aux personnes âgées isolées. Opaline Meunier soulignait que ce travail devait être effectué par les services du CPAS montois.
La conseillère communale de Mons en Mieux s’est bien sûr sentie attaquée. Elle se défend elle aussi sur les réseaux sociaux. « Concernant l’absence d’eau apportée aux SDF par temps de canicule, j'ai vu ce matin sur facebook toute la comedia del arte dont peut être capable la majorité et le PS à Mons. Je crois qu’il est plus facile d’insulter de tous les noms le messager plutôt qu’assumer ses responsabilités par rapport au message ». Et d’ajouter : « Plutôt que hurler à l’indécence de l'opposition, il serait adulte et mature de constater qu’il y a eu un problème d’échelle et d’ampleur de la distribution et qu’il faut rectifier le tir pour l’année prochaine, parce que ce genre d’été risque de se répéter ». (...)
Opaline Meunier
O. Meunier veut un plan seniors à Mons
La chaleur peut se révéler plus dangereuse encore que le froid pour ceux qui n’ont pas de logement. Par le temps caniculaire que nous avons connu, les jours de pics de température, mettre à la disposition des sans-abri de l’eau potable est une nécessité impérieuse.
Sur la foi du témoignage de certains sans-abri et d’une autre association qui leur vient en aide, Opaline Meunier, conseillère communale Mons en Mieux (opposition), accuse même le collège de mentir quand il affirme que de l’eau est distribuée lors des « maraudes » (tournées des assistants sociaux auprès des personnes vulnérables).
Opaline Meunier
Mons: un point d’eau potable sera installé près de la collégiale
Ce mardi soir, lors de la réunion du conseil communal, Opaline Meunier (Mons en Mieux) a présenté une motion pour un accès à l’eau potable en centre-ville. Un objectif partagé par le collège PS-Ecolo.
La canicule de ces derniers jours a inspiré la conseillère de l’opposition Opaline Meunier qui a déposé une proposition de motion, mardi soir au conseil communal, afin que la Ville installe un point d’eau potable gratuit et accessible 24H/24. Selon elle, celui-ci pourrait par exemple être installé dans le Jardin du Maïeur, près de la collégiale, ou encore dans le parc Jacobs dans la rue d’Havré. La conseillère de Mons en Mieux développe trois arguments pour justifier cet aménagement dont le premier vise à rencontrer une demande des touristes. « Si Mons veut jouer la carte touristique », explique-t-elle, « elle doit pouvoir proposer un accès à l’eau potable comme c’est le cas dans de grandes villes. » La deuxième raison concerne les personnes sans domicile fixe qui sont privées d’un accès à l’eau gratuite même en période de canicule, or comme chacun le sait, il est important de s’hydrater durant les fortes chaleurs. Enfin, ce point d’eau répondrait également aux besoins d’hydratation des enfants en bas âge et des personnes âgées.
Opaline Meunier
Viols à Dour: de jeunes élues outrées par les conseils policiers
Trois jeunes femmes ont déposé plainte pour des faits de viol commis dans la nuit de jeudi à vendredi. Une enquête judiciaire est en cours. À cette occasion, la police n’a pas manqué de rappeler quelques conseils. Ils ont provoqué la colère de plusieurs jeunes politiciennes.
Opaline Meunier (cdH), conseillère communale d’opposition sur la liste Mons en Mieux : « Les viols ne sont pas dus aux femmes qui s’éloignent de leurs amis en festival. Les viols sont dus aux violeurs »
Opaline Meunier
Un climat de peur règne à l’UMons après les agressions mais les étudiantes s’organisent: «Mes copines m’attendent, on ne fait plus les trajets seules»
Compte tenu des récents événements, des étudiantes craignent de s’aventurer sur le sentier, entre la plaine de Nimy et la gare de Mons. Plusieurs filles ont été malmenées ces derniers jours. C’est donc en groupe que certaines ont décidé d’affronter ce chemin tant redouté.
Mardi dernier, une étudiante de 19 ans marchait sur le sentier, longeant le parc, quand un individu a surgi de nulle part. Le suspect l’a portée comme un sac à patates. Heureusement, la jeune femme a su s’échapper, et l’a identifié au commissariat de police. Elle ne ressent pas un sentiment d’insécurité depuis son agression. Elle ne fait pourtant plus les trajets seule : « Mes copines m’attendent. »
Opaline Meunier
Opaline Meunier veut réunir tous les acteurs
La conseillère communale Opaline Meunier (dans l’opposition) n’a pas manqué de réagir. La jeune femme a décidé d’interpeller le bourgmestre de Mons, le recteur de l’UMons et le chef de corps de la zone de Mons-Quévy. En écrivant un courrier aux principaux intéressés, elle espère provoquer une rencontre qui dépasserait « le clivage majorité-opposition. »
Étudiante aussi…
L’université montoise, précise-t-elle, fait preuve de légèreté quant aux problèmes que rencontrent les étudiantes. Pour elle, l’UMons pourrait en faire beaucoup plus. Notamment aux abords du campus. La conseillère communale affirme qu’il est impératif de durcir la surveillance des abords du campus, et d’augmenter les patrouilles de police. D’après elle, les axes problématiques ne sont pas assez contrôlés : « Toute la place du Parc n’est pas surveillée, toute l’avenue du Champ de Mars et la rue de Nimy aussi. Il faut qu’aux abords de l’université, du parc et de la rue de Nimy, il y ait des caméras de surveillance. Cela permettrait d’anticiper des agressions. Il faut appliquer une tolérance zéro. » Opaline Meunier envisage de proposer à l’université de lancer une campagne interne pour inciter les étudiantes à déposer plainte. La conseillère communale en appelle à porter plainte pour avoir un maximum de signalements. Etudiante à la Fucam, Opaline Meunier a déjà dû faire face à un pervers alors qu’elle était en rhéto. Et dernièrement, elle a été insultée. Elle marchait en direction des Grands Prés, et n’a pas compris cette animosité.
L’université montoise, précise-t-elle, fait preuve de légèreté quant aux problèmes que rencontrent les étudiantes. Pour elle, l’UMons pourrait en faire beaucoup plus. Notamment aux abords du campus. La conseillère communale affirme qu’il est impératif de durcir la surveillance des abords du campus, et d’augmenter les patrouilles de police. D’après elle, les axes problématiques ne sont pas assez contrôlés : « Toute la place du Parc n’est pas surveillée, toute l’avenue du Champ de Mars et la rue de Nimy aussi. Il faut qu’aux abords de l’université, du parc et de la rue de Nimy, il y ait des caméras de surveillance. Cela permettrait d’anticiper des agressions. Il faut appliquer une tolérance zéro. » Opaline Meunier envisage de proposer à l’université de lancer une campagne interne pour inciter les étudiantes à déposer plainte. La conseillère communale en appelle à porter plainte pour avoir un maximum de signalements. Etudiante à la Fucam, Opaline Meunier a déjà dû faire face à un pervers alors qu’elle était en rhéto. Et dernièrement, elle a été insultée. Elle marchait en direction des Grands Prés, et n’a pas compris cette animosité.
Opaline Meunier
Un candidat PS de Mons va déposer plainte contre Opaline Meunier pour diffamation
En ce dimanche de scrutin, les tensions entre candidats sont encore bien palpables. Sur son Facebook, Opaline Meunier, n’a pas manqué, sans le citer nommément, de tacler Stéphane Bernard, conseiller communal et candidat à la région. Trop, c’est trop, réagit-il. Il a déjà prévenu la police et il se rendra ce lundi au commissariat et déposer plainte pour diffamation.
« Et comme à chaque élection, le socialiste de mon village passe la matinée devant le bureau de vote à serrer des mains en disant « Pense à moi hein mbiau » » écrit Opaline Meunier sur les réseaux sociaux. Elle publie aussi une photo, où l’on voit, au loin, le candidat en question.
Opaline Meunier
Opaline Meunier (CDH) aux élections 2019 : score, résultats et voix de préférence
Ce dimanche 26 mai 2019, on votait pour les élections fédérales, régionales et européennes. Voici les scores et voix de préférence de Opaline Meunier (CDH), ainsi que tous les résultats.
Opaline Meunier se présentait sur la liste du CDH à la Région wallonne, dans la circonscription de Mons. Voici son score et ceux de ses adversaires lors de ces élections.Le module se met à jour automatiquement avec des résultats actualisés en temps réel.
Opaline Meunier
Élections 2019 : « Et comme d’habitude... », dénonce Opaline Meunier
Sur son compte Facebook, Opaline Meunier (cdH) dénonce les pratiques d’un candidat socialiste d’Obourg, section de la ville de Mons.
Opaline Meunier, dénonce sur le ton de l’humour, les pratiques d’un candidat socialiste d’Obourg, section de la ville de Mons d’où la candidate cdH est originaire. « Et comme à chaque élection, le socialiste de mon village passe la matinée devant le bureau de vote à serrer des mains en disant « Pense à moi hein mbiau » », a-t-elle déclaré sur son compte Facebook. La conseillère communale commente également : « Ils faisaient déjà cela avant la guerre ».
Opaline Meunier
Obourg: dépôt de bilan, le magasin Spar ferme ses portes
Les habitants d’Obourg vont devoir se passer de leur magasin Spar, installé rue de l’Église. L’établissement, en dépôt de bilan, ferme définitivement ses portes dans une semaine…
« À Obourg, c’est un petit peu de la vie du village qui s’en ira avec le Spar. C’est vraiment triste et regrettable de perdre encore un peu plus de cette convivialité et cette chaleur des rencontres qui caractérisaient ce petit supermarché de village. C’est inquiétant de voir ces lieux de chaleur humaine disparaître les uns après les autres… » commente Opaline Meunier, candidate cdH et cliente sur son Facebook.
Opaline Meunier
G-L. Bouchez : «D. Bouillon parti comme un voleur»
Après le départ de David Bouillon et son ralliement aux Listes Destexhe, Mons en Mieux ! resserre les rangs. Son chef de file, Georges-Louis Bouchez a réagi dans une conférence de presse organisée ce vendredi matin : « Je n’accepte pas son comportement, il est parti comme un voleur avec son siège d’élu communal sans même discuter ! »
Le départ soudain du docteur oublié, Mons en Mieux ! repart sur de nouvelles bases en cette période un peu particulière de campagne. Au sein du mouvement pluraliste, Opaline Meunier pour le cdH, Florent Dufrane et Richard Miller pour le MR seront candidats pour les Régionales tandis que Georges-Louis Bouchez se présentera chez les libéraux aux Fédérales.
Opaline Meunier
Conseil de Mons : plus tôt, mais trop tard !
Le conseil communal montois de mardi prochain risque bien de s’éterniser dans les débats… Et pour cause, c’est le vote du budget 2019. Mais ce sont déjà les horaires de convocation qui ont provoqué la discorde entre majorité et opposition.
Habituellement, le conseil de police se tient à 17 h 30, le conseil communal à 18 h. Cette fois-ci, une convocation est arrivée pour les deux conseils à 17 h 30. Impossible, à moins d’avoir le don d’ubiquité pour certains conseillers. « Je ne peux pas assister aux deux en même temps", souligne Opaline Meunier pour Mons en Mieux ! "Nous leurs avons donc fait remarquer… Du coup, ils ont avancé le conseil de police à 17 h…"
Opaline Meunier
Clarebout: ils ont répondu à l’invitation des opposants
Combien seront-ils, femmes et hommes politiques, administrateurs et administratrices de l’intercommunale IDEA, dimanche après-midi sur le site de l’entreprise Clarebout à Frameries ? Les citoyens opposés à l’implantation de l’usine de frites surgelées ont invité tout ce petit monde à visiter les lieux. Voici ceux qui ont répondu.
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Opaline Meunier (Mons, CDH/Mons en Mieux !, conseillère communale).
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Rappelons que les citoyens opposés à l’implantation de l’usine de frites Clarebout à Frameries ont invité tous les politiques de la région à une visite guidée du site. Pour qu’ils se rendent compte sur le terrain des nuisances qu’une telle usine pourrait occasionner... «Les Amis du Crachet souhaitent vous faire découvrir l’endroit le plus tendance du moment. Vous savez, le site dont tout le monde parle mais qui est si difficile à situer», ont-ils écrit non sans humour sur le carton d’invitation.
Opaline Meunier
6 femmes de 3 partis demandent qu’on fasse la priorité aux droits des femmes
Six femmes actives en politique adressent une lettre ouverte aux médias. En cette journée internationale des droits des femmes, elles lancent un appel à faire de ces droits une priorité sociétale dans tous les partis et à tous niveaux de pouvoir.
« Nous lançons un appel à faire des droits des femmes une priorité sociétale dans tous les partis et à tous niveaux de pouvoir », écrivent Céline Frélmault (ministre bruxelloise cdH), Valérie De Bue (ministre wallonne MR), Cécile Jodogne (secrétaire d’État bruxelloise Défi), Marie-Christine Marghem (ministre fédérale MR), Sophie Rohonyi (présidente Défi Périphérie) et Opaline Meunier (conseillère communale cdH). L’initiative est venue de cette dernière. « L’idée m’est venue la semaine dernière lors d’une réunion de femmes en politique. Toutes les couleurs étaient représentées et je me suis dit qu’au-delà des partis, nous avions beaucoup de points communs », explique-t-elle.
Opaline Meunier
Le cdH de Mons taille un costard à Opaline Meunier! (vidéo)
La section locale du cdH de Mons est en colère et le fait savoir. En cause : Opaline Meunier. La jeune femme, élue conseillère communale sur la liste Mons en Mieux ! de Georges-Louis Bouchez, va s’apparenter au cdH. Elle était même pressentie pour être sur la liste cdH aux prochaines élections régionales. La section locale ne soutient pas la candidature d’Opaline Meunier et lui souhaite même une « belle campagne en solitaire » !
Présente à la conférence de presse de Mons en Mieux ! ce mardi midi dans le cadre du conseil communal de Mons qui a lieu ce mardi soir, Opaline Meunier, conseillère communale de Mons en Mieux ! a réagi brièvement au communiqué du cdH : « Je n’ai jamais voulu blesser ni heurter qui que ce soit », a-t-elle déclaré. Puis a ajouté : « Je m’apparente au cdH en tant que conseillère communale. Je ne souhaite pas rentrer dans cette polémique individuelle ni dans les attaques de personnes. »
Opaline Meunier
Opaline Meunier (Mons en mieux!) s’apparente au cdH
Pour ce 1er mars au plus tard, les mandataires communaux de listes de cartel peuvent déclarer leur apparentement à une liste régionale. Opaline Meunier, conseillère communale du groupe Mons en Mieux!, a décidé de rester fidèle à son parti d’origine le cdH.
En janvier 2018, lorsque vous avez décidé de rejoindre la liste de G-L. Bouchez (Mons en Mieux !), déçues, Joëlle Milquet et Catherine Fonck notamment ont réclamé votre départ du cdH… Vous avez eu l’occasion d’évoquer votre situation avec le nouveau président du cdH ?
Oui, j’ai rencontré Maxime Prévot cette semaine pour aborder plusieurs sujets. Je suis militante cdH depuis mes 15 ans. Pour moi, ce parti représente toujours un modèle de société pertinent. Le cdH reste mon parti !
Opaline Meunier
Mons: Opaline Meunier candidate cdH aux régionales
Pour ce 1er mars au plus tard, les mandataires communaux de listes de cartel peuvent déclarer leur apparentement à une liste régionale. Opaline Meunier, conseillère communale du groupe Mons en Mieux !, a décidé de rester fidèle à son parti d’origine le cdH. Pourtant, en janvier 2018, elle avait suscité la polémique parmi la famille humaniste en annonçant sa présence sur la liste de Georges-Louis Bouchez aux élections communales d’octobre dernier. Opaline Meunier devrait être candidate pour le parlement wallon le 26 mai.
En janvier 2018, lorsque vous avez décidé de rejoindre la liste de G-L. Bouchez (Mons en Mieux !), déçues, Joëlle Milquet et Catherine Fonck notamment ont réclamé votre départ du cdH… Vous avez eu l’occasion d’évoquer votre situation avec le nouveau président du cdH ?
Oui, j’ai rencontré Maxime Prévot cette semaine pour aborder plusieurs sujets. Je suis militante cdH depuis mes 15 ans. Pour moi, ce parti représente toujours un modèle de société pertinent. Le cdH reste mon parti ! Ce dimanche, une réunion de la section montoise (qui regroupe les 19 communes) était organisée. J’y ai annoncé mon apparentement au cdH.
De même que votre candidature aux élections régionales en mai prochain ?Je ne sais pas encore, rien n’est encore fait. Maxime Prévot mène des consultations pour toute la Wallonie. Je préfère ne pas me prononcer pour l’instant. (NDLR : plusieurs sources nous confirment pourtant sa candidature aux régionales)
Savine Moucheron, chef de file du cdH à Mons, avait regretté votre adhésion à Mons en Mieux ! au moment des communales. Avez-vous parlé récemment avec elle de votre position par rapport au cdH ?
Oui, nous avons eu une conversation franche. Mon apparentement au cdH n’est certainement pas une surprise pour elle dans la mesure où je n’ai jamais envoyé de signaux disant que j’allais faire autre chose. Nous avons toutes les deux l’intérêt du cdH à cœur.
Savine Moucheron est aussi députée wallonne. Ce qui veut dire que vous pourriez vous retrouver toutes les deux sur la même liste aux régionales alors que vous étiez concurrentes en octobre dernier…
Je ne me prononcerai pas sur ce point. Encore une fois les candidat(e)s du cdH aux régionales ne sont pas encore connus.
Vous avez choisi de vous apparenter au cdH, parti qui pourtant à Mons a perdu un siège aux dernières élections communales.Il y a un souci, il va falloir un repositionnement sur Mons. Le cdH va-t-il rester scotché au PS ? Il y a un manque de visibilité et de positionnement. Sur quels sujets doit-il se démarquer ? On va y travailler.
L’électeur va-t-il comprendre que vous avez pris vos distances par rapport au cdH aux élections d’octobre dernier et que vous pourriez vous présenter en mai sur cette même liste ?
On ne va pas refaire l’histoire mais j’avais prévenu Savine Moucheron en 2018 que j’allais avec Georges-Louis Bouchez. Je ne veux pas revenir sur les piques qui m’ont été lancées à l’époque. Ici, je veux aller de l’avant. Il faut savoir faire la différence entre l’intérêt des Montois et les valeurs qu’il faut défendre à d’autres niveaux de pouvoir pour l’ensemble de la société, que ce soit au niveau fédéral, régional ou européen.
Aucun regret par rapport à votre parcours à Mons ?Il fallait faire cette liste de rassemblement la plus large possible en créant Mons en Mieux ! Je ne regrette absolument rien. Je regrette par contre l’emballement médiatique que mon choix a suscité. Je n’ai pas anticipé, j’aurais dû gérer ma communication autrement. Mais sur le fond, je referais tout à 100 %. Globalement, j’ai toujours été cdH. « Une séparation n’est pas un divorce », avait déclaré à l’époque Benoît Lutgen (ex-président du cdH) par rapport à mon choix d’aller vers Mons en Mieux ! Pour moi, il est évident qu’une fois les élections communales passées, je suis et reste toujours cdH.
Opaline Meunier
Transparence des mandats à la Ville
Ce mardi soir, lors de la réunion du conseil communal, Opaline Meunier (Mons en Mieux !) interviendra au travers d’une motion en vue d’assurer plus de transparence au sein de la Ville de Mons. Le sujet a déjà fait l’objet d’interventions du collectif Transparencia au niveau de la Ville. Que demande la mandataire de l’opposition ? Quatre choses : 1. Que les dossiers débattus devant le conseil communal et pour lesquels les élus reçoivent des documents soient également accessibles aux citoyens. « Actuellement, les Montois peuvent avoir accès à ces dossiers mais en se déplaçant à l’hôtel de ville, alors qu’ils pourraient le faire à partir de leur domicile », argumente Opaline Meunier.
« Il y a une certaine hypocrisie entre ce qui se dit au niveau du parlement wallon et la réalité. Cette semaine, le député Nicolas Martin s’est dit favorable au fait de rendre l’avis de la commission d’accès aux documents administratifs (CADA) contraignant pour les communes , sauf que Nicolas Martin, bourgmestre, n’est franchement pas très efficace pour changer les mentalités à Mons », termine Opaline Meunier.
Opaline Meunier, Nicolas Martin
L’ADP Liège a célébré hier ses 60 ans à l’Opéra Royal
60ans de ressources humaines ardentes, cela se fête ! C’était le titre de l’événement d’hier, organisé sur toute la journée à l’Opéra Royal de Wallonie. Outre un intéressant débat sur l’avenir de la profession et de la pratique de gestionnaire en ressources humaines, il vit également la nomination de la nouvelle Présidente de l’association, Nathalie Bologne. Nous l’avons rencontré.
Après une première partie académique sous forme de colloque réservé aux membres liégeois et aux associations sœurs des autres régions, avait lieu à 18h30 le passage de flambeau de la Présidence de l’ADP Liège. Nathalie Bologne est donc devenue la seconde femme à prendre la tête de l’association des responsables RH Liégeois. S’en suivait un débat rassemblant Jean-Jacques Cloquet, Directeur opérationnel et commercial de Pairi Daiza et Manager de l’année 2018, Philippe Bertin, CHRO de Prayon et HR Manager 2018 et Opaline Meunier, ancienne Présidente de l’Unécof (l’Union des étudiants de la Communauté française) sur le thème « Entre aujourd’hui et demain, comment adapter notre gestion des Ressources Humaines aux (nouvelles) attentes ? »
Opaline Meunier
