Revue de presse 2020

Jemappes: la garantie solidaire de 750000€ pour l’ASBL Progress irrite Mons en Mieux

Installée dans l’avenue du Coq à Jemappes, l’ASBL Progress (comme promotion de la gestion responsable en économie sociale et solidaire) a demandé à la Ville de Mons de lui accorder sa caution solidaire pour l’ouverture d’un crédit de 750.000 €. Mons en Mieux fulmine !
« Ce dossier est choquant ! », assène Opaline Meunier. « Cette ASBL qui n’est vraiment pas en bonne santé financière pourrait cesser ses activités du jour au lendemain et dans ce cas c’est la Ville de Mons qui devrait casquer… »
Opaline Meunier

Assommer la police avec une pancarte? Glatigny condamne

Dans notre édition de jeudi, nous avions relayé le coup de gueule d’Opaline Meunier sur son compte Twitter. Elle avait épinglé l’asbl « écolo j » et son petit carnet de détente remis à des jeunes pendant les vacances d’été. On y voyait un jeu sous forme de labyrinthe. Il était question d’assommer des policiers et des patrons avec une pancarte pour avoir une augmentation salariale.
Ce message de la présidente des jeunes du CDH avait suscité de nombreuses réactions enflammées. Du pour et du contre. Nous avions joint Chloé Berthelemy, la nouvelle coprésidente de l’ASBL qui avait persisté et signé : « Non, nous ne pensons pas que c’est maladroit », avait-elle répondu-elle. « C’est un jeu, il faut le prendre à la légère, comme tout ce carnet de détente qui a été donné à notre public, dont l’âge varie de 15 à 35 ans. 60 personnes ont dû le recevoir, tout au plus. Il faut voir ça comme une métaphore pour comprendre les obstacles que les syndicalistes doivent surmonter ».
Opaline Meunier

Georges-Louis Bouchez (MR) sauvé: la réaction des politiques de Mons-Bo

Ce lundi se tenait un bureau de parti au siège du Mouvement Réformateur. Une journée consacrée au sort de l’actuel président de parti, Georges-Louis Bouchez. Le Montois reste finalement président du MR, mais avec un certain encadrement… Les politiques de Mons-Borinage réagissent face à ce revirement de situation au sein du parti libéral.
« En tant que membre du cdH, il ne m’appartient pas de commenter la séquence, évidemment », indique la conseillère communale Opaline Meunier. « En tant qu’élue de Mons en Mieux, peu importe la façon dont tout cela aurait pu se finir, il a mon soutien plein et entier et serait resté de toute façon notre chef de file et candidat bourgmestre », ajoute-t-elle.

Opaline Meunier

Adhésion du CPAS de Mons à des business clubs: le ministre Dermagne s’en mêle

Dans notre édition du 23 septembre, nous vous expliquions que le CPAS de Mons souhaitait adhérer à différents business clubs dans le but de créer des ponts avec les entreprises de la région. Ces dépenses étaient dénoncées par Opaline Meunier de Mons en Mieux. Ce mercredi après-midi, la députée wallonne Jacqueline Galant n’a pas manqué d’interroger le ministre PS Dermagne à ce sujet. Il a reconnu que de telles adhésions ne rentraient pas dans les missions légales du CPAS. Mais le CPAS de Mons annonce finalement que les business clubs concernés lui proposent une adhésion gratuite !
De son côté, Opaline Meunier, qui avait dénoncé les faits, jubile. « Le ministre socialiste nous donne raison. Il précise bien que le CPAS est sorti de ses missions en adhérant à ces business clubs, contrairement à ce que disait Marie Meunier. »
Opaline Meunier

Vive polémique à Mons: l’adhésion du CPAS à des business clubs passe très mal!

Un Centre Public d’Action Sociale doit-il s’affilier à un business club afin de remplir ses missions ? La question se pose, suite à l’adhésion du CPAS de Mons à l’asbl Synergie et à La Maison de la Réunion. Alors que la CDH Opaline Meunier dénonce une mauvaise utilisation de l’argent public, Marie Meunier, présidente du CPAS, justifie ces dépenses par la nécessité de créer du lien avec les entreprises privées.
Au cœur de cette controverse, deux décisions prises à l’unanimité par le Bureau Permanent du CPAS et qui concernent l’adhésion à deux structures : l’asbl Synergie et la scrl La Maison de la Réunion.Dans les délibérations, il est stipulé que les frais d’adhésion à l’asbl Synergie (750 euros HTVA, soit 907, 50 euros TVAC) et à la Maison de la Réunion (3.025 euros TVAC) seront pris en charge par le CPAS via une augmentation du budget à la prochaine modification budgétaire.Il est également prévu que Marie Meunier, la présidente du CPAS, participe aux différentes réunions d’adhésions ainsi qu’aux événements organisés par le Cercle d’Affaires les Dames de la Réunion de la Maison de la Réunion et par Synergie ; Les frais de participation étant également couverts par le CPAS. Parmi les prochains événements organisés par Synergie : un Business Day, un midi Business, un petit-déjeuner sur la planification de la retraite et une initiation au golf à Erbisoeul.

Des dépenses injustifiées aux yeux de la CDH Opaline Meunier. Avec son groupe, Mons en Mieux, elle compte bien interpeller, ce mercredi soir, le Conseil de l’Action Sociale, afin de demander l’annulation de ces délibérations. « On estime que l’argent du CPAS ne doit pas servir à payer des bons repas et du golf à Marie Meunier mais à sortir les gens de la précarité et de la pauvreté. Ces moyens doivent servir au maximum aux bénéficiaires qui sont en difficulté, surtout quand on connaît la situation de notre région » s’indigne-t-elle. « C’est pas l’Amérique, ici ! On n’a pas besoin de faire partie d’un business club aux frais du CPAS. On peut tout simplement avoir une réunion classique avec des entreprises. Ce n’est pas indispensable d’aller faire du golf pour avoir des opportunités professionnelles pour les articles 60 et 61. On estime que de telles pratiques devraient être révolues. C’était peut-être acceptable dans les années 70 et 80 mais, la société a évolué et ça ne passe plus aujourd’hui. »
Opaline Meunier

Mons va être labellisée « Ville Rose »

Ce mardi soir, la présidente du CPAS Marie Meunier proposera au conseil communal de Mons de voter en faveur de l’adhésion de la Ville au label « Ville Rose », imaginé par l’asbl « Think Pink ». Cela permet de sensibiliser le public à l’importance de la lutte contre le cancer du sein et à son dépistage précoce.
En janvier dernier, le groupe Mons en Mieux (dans l’opposition) était déjà intervenu devant le conseil communal sur le sujet. Opaline Meunier, conseillère communale, avait plaidé pour que Mons devienne une « ville rose ». « La commune constitue le moteur central pour organiser des actions concrètes et diffuser des informations en général », avait déclaré la représentante de Mons en Mieux. Message entendu par la majorité PS-Ecolo !
Opaline Meunier, "think pink"

Nouveaux militaires au SHAPE:«une bonne nouvelle pour la région»

Tandis que certains voient l’arrivée de nouveaux militaires au SHAPE comme une bonne nouvelle, d’autres se méfient. Opaline Meunier, conseillère communale CDH à « Mons en Mieux », et Jérèmy Bricq, échevin PS à Saint-Ghislain, ont des avis différents sur la question.
Pour l’ancienne habitante du SHAPE, la venue de nouveaux militaires est une bonne nouvelle. « Le SHAPE apporte un véritable échange culturel, c’est un enrichissement sans précédent. L’arrivée de 2.000 militaires, c’est plus du double de rencontres possibles avec leurs femmes et enfants ainsi que d’innombrables découvertes de culture », indique Opaline Meunier (CDH).« Les militaires, grâce à leur prime de déploiement à l’étranger, gagnent vraiment bien leur vie. Ils ont un réel pouvoir d’achat. Ils consomment à l’intérieur du SHAPE mais aussi à l’extérieur, spécialement ceux qui habitent en dehors de la base », indique encore la jeune femme. Seulement 10 % des militaires habitent à l’intérieur du SHAPE. « Ils sont donc présents dans l’Horeca mais aussi dans les petits commerces locaux à proximité de leur domicile », ajoute-t-elle.
Opaline Meunier

La Ville bouche un trou de 266.000 € dans les factures du club de foot de Cuesmes

Les nouvelles infrastructures du RAFC Cuesmes, sur le site de l’Héribus, sont bientôt prêtes. Mais le club de foot n’a pas payé toutes les factures à l’entrepreneur. En réaction, la Ville de Mons a décidé d’octroyer un prêt de 266.000 euros au club pour qu’il puisse régler les impayés. Mais cette somme pourrait ne pas être suffisante. Au final, ce sont plus de 500.000 euros qui pourraient être prêtés au RAFC Cuesmes. Mais l’opposition fulmine. Pour Georges-Louis Bouchez, chef de file de Mons en Mieux, ce problème financier aurait pu être anticipé. Et il souligne, comme d’autres partis d’opposition, qu’aucun plan de remboursement n’accompagne ce prêt.
Georges-Louis Bouchez souligne également qu’aucun plan de remboursement n’a été défini lors de l’octroi du prêt. « Il n’y a pas non plus de délais. Le collège aurait plutôt dû proposer un subside. Mais ça aurait créé un précédent. Tous les clubs de tous les villages de la Ville, toutes disciplines confondues, auraient alors pu légitiment demander un subside supplémentaire. » Au conseil communal, Savine Moucheron (cdH), Opaline Meunier (Mons en Mieux), Chris Massaki (Mons en Mieux) et Lucie Giunta (PTB) ont également fait entendre leur désaccord. Mélanie Ouali assure toutefois que le club cuesmois s’est engagé à trouver des pistes pour rembourser la Ville.
Opaline Meunier

Mons en Mieux: «Les cimetières abandonnés, inacceptable!»

La période de confinement aura également eu un effet sur l’état des cimetières… Le groupe Mons en Mieux (opposition) interpellera le collège lors du prochain conseil communal. De son côté, la Ville de Mons annonce que les cimetières seront remis en état au cours de cette semaine. Les entretiens ont déjà repris.
Opaline Meunier et Guillaume Soupart, conseillers communaux du groupe Mons en Mieux, interviendront sur l’état des cimetières lors du prochain conseil communal prévu le 23 juin. Tous deux ont visité les cimetières de l’entité et ont constaté, photos à l’appui, que la nature avait repris ses droits en de nombreux endroits, donnant l’image d’espaces complètement abandonnés. Rappelons tout d’abord que les produits de type herbicides sont désormais interdits. Sur les espaces publics, les services communaux doivent dès lors utiliser des chalumeaux, des débroussailleuses ou arracher à la main les plantes indésirables. Ou encore laisser la végétation se développer en certains endroits mais en contrôlant la situation.
Opaline Meunier

Francs Borains: «Nicolas Martin réécrit l’histoire»

De nombreuses réactions dans le monde politique régional suite à la désignation de Georges-Louis Bouchez à la présidence du Royal Frans Borains. Après que Nicolas Martin, le bourgmestre de Mons a parlé de « sabotage politique démasqué », c’est au tour de Mons en Mieux de riposter dans un communiqué.
« Nicolas Martin réécrit l’histoire pour justifier son échec personnel : c’est précisément au lendemain de l’échec de la fusion des clubs que la question du déploiement du RFB s’est posée et que les négociations auprès de Georges-Louis Bouchez ont commencé, » déclare Opaline Meunier, Cheffe de groupe adjointe de Mons en Mieux et mandataire cdH dans le communiqué. « Quant à Carlo Di Antonio, il n’a participé à aucune des négociations et a uniquement accepté d’être vice-président de l’école des jeunes afin d’aider un maximum de jeunes à s’épanouir à travers le sport, et il est bien connu dans la région que c’est un combat qui est le sien depuis des dizaines d’années. Il a accepté cette mission bénévole à la demande de Georges-Louis Bouchez, également bénévole dans cette mission. »,
Opaline Meunier

Doudou : Mons en Mieux veut un personnage féminin en plus

La ducasse de Mons en octobre ? Mons en Mieux y croit. Pour le groupe d’opposition, il faudra en profiter pour remercier le personnel médical pour son travail durant la crise. La conseillère communale Opaline Meunier a proposé un geste fort : créer un nouveau personnage féminin qui représentera le personnel médical.
Mais si la ducasse a lieu, Mons en Mieux souhaite que le personnel médical y soit remercié pour le travail effectué durant la crise. « Le personnel médical devra être mis en avant de façon innovante », précise la conseillère communale Opaline Meunier. « L’idée pourrait être de créer un nouveau personnage féminin lors de la ducasse qui représenterait le personnel médical. Ce serait une belle évocation. »
Opaline Meunier, "think pink"

Mons-Borinage: «Il fera beau demain» avec 3 femmes du cdH

Le samedi 11 janvier dernier, le cdH lançait, à Namur, son processus de refondation programmé durant un an. Le but est de construire un nouveau projet politique avec les citoyens intéressés et les militants. Dans la région de Mons-Borinage, trois jeunes femmes ont été désignées par le parti pour dialoguer avec les citoyens sur leurs préoccupations. Rencontre avec les trois coordinatrices des bassins de vie.
" Dans le cadre de la refondation du cdH, on va vers un mouvement tout à fait différent qui s’appelle « Il fera beau demain ». C’est le nom du processus qui va durer un peu plus d’un an. Le cdH qu’on a connu hier n’existera plus tel quel. On évolue vers un mouvement beaucoup plus participatif. Avec « Il fera beau demain », il n’est pas nécessaire d’avoir sa carte de parti. Le cdH a décidé de travailler par bassin de vie plutôt que par commune."
Opaline Meunier

« Les jeunes ne pensent plus comme les aînés »

Opaline Meunier : « Les jeunes ne pensent plus comme ça. Franchement, est-ce que le système actuel et ce qu’on offre aux citoyens sont satisfaisants ? Cent fois non ! On voit une montée des populismes et de plus en plus de gens qui ne votent plus parce qu’ils sont en colère par rapport aux politiques. Hé bien s’il faut passer par un peu d’utopie pour réinventer demain, faisons le pari.En effet, c’est un travail de très longue haleine. On rigolait d’Ecolo fin des années 70, je pense qu’on est un peu dans la même dynamique.Il faut réinventer la manière de faire de la politique. Je sais que ça répond aux besoins de notre génération. Celle-ci n’analyse plus les partis politiques comme des équipes de foot. Moi je suis standarman et je veux le rester toute ma vie, moi je suis PS et je vais le rester toute ma vie : non ! Les époques et les réalités changent.Il va falloir faire face à des enjeux qui n’existaient pas hier. L’offre actuelle est relativement déprimante… Et donc rêvons un peu à demain... »
Opaline Meunier

Mons en Mieux plaide pour que Mons devienne « ville rose »

En Belgique, une femme sur huit est frappée par le cancer du sein. Chaque jour, sept femmes perdent leur combat contre cette maladie impitoyable. Pourtant, détecté à temps, ce type de cancer peut être traité et éliminé.
Que peut faire une commune par rapport à cette problématique ? « Les actions sont nombreuses », répond Opaline Meunier, conseillère dans l’opposition. « La Ville de Mons ou le CPAS pourraient par exemple mener des actions de prévention et de sensibilisation en distribuant des brochures d’information sur leurs lieux d’accueil. Ou encore envoyer un courrier aux femmes afin de promouvoir le dépistage. C’est selon l’appréciation de la Ville, moi je veux juste obtenir un accord de principe lors du conseil communal. On a trop de décès qui auraient pu être évités. »
Opaline Meunier, "think pink"

Conseils communaux décentralisés à Quévy et à Mons

Le conseil communal de Mons doit-il se tenir à Mons? Oui, bien sûr! À l’hôtel de ville de Mons? Pas forcément. Opaline Meunier, conseillère communale « Mons en Mieux » (opposition), voudrait, en quelque sorte, envoyer l’assemblée communale en tournée... À Quévy, on est déjà prêt à le faire.
La conseillère montoise déposera au prochain conseil, mardi prochain, une motion visant à « décentraliser » les réunions publiques du conseil, qui se tiendraient tantôt à Mons-ville, tantôt dans une des 18 autres anciennes communes qui composent le grand Mons. « L’idée m’est venue en lisant les remarques de citoyens sur Facebook, contrariés de ne pas pouvoir assister au conseil à l’hôtel de ville, faute de transports en commun tard le soir », explique Opaline Meunier.
Opaline Meunier
Recherche