
Revue de presse 2021
Mons: Opaline Meunier démissionne de son poste de présidente des Jeunes cdH
Ce jeudi, l’assemblée générale des Jeunes cdH a acté la démission de sa présidente, Opaline Meunier. La Montoise a décidé de se retirer à quelques mois des nouvelles élections. « Je fais une pause pour me consacrer à un nouveau défi. »
Depuis ce jeudi, vous n’êtes officiellement plus présidente des Jeunes cdH. Pourquoi avez-vous démissionné ?J’avais l’envie de prendre un peu de recul, quelques semaines ou quelques mois – je ne sais pas encore combien de temps – pour réfléchir à tout ce qu’on a vécu et vu ces dernières années.
Est-ce que ça veut dire que vous arrêtez la politique ?
On a toujours la fibre en soi, la politique, c’est une vocation. J’ai deux vocations : la politique et l’enseignement, je choisis de me recentrer sur cette dernière. J’ai signé comme enseignante à la rentrée, en école secondaire et en haute école.
Pourquoi prof ?
J’ai envie de me sentir utile. L’enseignement a toujours été mon moteur et j’ai adoré mes dernières expériences. J’ai fait plusieurs remplacements pendant la crise du Covid et j’ai vraiment adoré. Désormais, je vais enseigner les sciences sociales à des élèves de la 3e technique à la BAC 3. C’est un chouette challenge.
N’était-il pas possible de concilier les deux ?
Ah non ! (rires) Le poste de présidente des Jeunes cdH, c’est un temps plein. Entre la coordination de l’ASBL, la réforme des jeunes, les médias, etc. En plus, je ne peux pas dire à mes élèves : « Je ne serai pas là demain car j’ai une interview ! » Ce poste était difficilement conciliable avec un travail dans une autre boîte. Au moins, quelqu’un va pouvoir s’y consacrer à fond.
Concrètement, qu’est-ce que ça change ?
Pour Mons, rien ! Je garde mon mandat de conseillère communale. D’ailleurs j’ai pris des postes d’enseignante bien loin de Mons pour éviter tout conflit d’intérêts. Du côté des Jeunes cdH, c’est la vice-présidente qui reprend le mandat pour les derniers mois.
Vous avez toujours été dans la politique. Pourquoi changer maintenant ?
J’ai été plongée dedans dès mes 15 ans, quand j’allais déjà distribuer des tracts et des affiches. Au fur et à mesure du temps, je me suis de plus en plus impliquée jusqu’à arriver à ce poste. Ça n’a pas été facile d’être présidente pendant la crise Covid alors que le but était d’organiser des activités. Là, j’ai décidé de faire une pause pour me consacrer à un nouveau défi. Ce n’est pas une retraite politique.
Opaline Meunier
Opaline Meunier: «Des insultes sur mon physique ou sexistes»
Présidente des jeunes CDH à Mons et conseillère communale, Opaline Meunier a souvent été prise pour cible sur les réseaux sociaux. « Cela se produit la plupart du temps sur Facebook. Je n’ai jamais reçu de menaces de mort, par contre les insultes faisaient partie de mon quotidien. Ces derniers temps, j’arrive à faire mes preuves donc je suis moins souvent insultée par mes détracteurs. Par contre, lors de mes débuts en politique, ce n’était pas simple. Je recevais de nombreuses insultes sur mon physique mais aussi sexistes et à connotations sexuelles. Souvent, il s’agissait de comptes anonymes. Une fois, lors du bal dit Lumeçon à Mons, j’étais accompagnée par Georges-Louis Bouchez et quelqu’un m’a jeté un verre de champagne. Le temps que je me retourne, la personne était partie. Certaines personnes sont aussi venues taguer ma façade. Au début, je le vivais très mal mais depuis, j’ai parcouru du chemin. Je me contente de bloquer les comptes Facebook des détracteurs. Je sais que ces critiques ne sont pas fondées et cela ne m’atteint plus. »
Opaline Meunier
«On ne s’attendait pas à recevoir autant»
" Opaline Meunier a lancé l’appel vers 10h sur Facebook et moi je l’ai relayé environ trente minutes après pour notre région. Même si ce n’est qu’à petite échelle, tous les gens se sont empressés d’apporter leur aide. Rien que pour le point de dépôt d’Haine-Saint-Pierre, nous avons dû mobiliser trois maisons et un garage pour tout entreposer. "
Opaline Meunier
Inondations: des collectes de dons sont organisées en région du Centre
Deux collectes de dons sont organisées à Haine-Saint-Pierre et Estinnes-au-Mont ce jeudi 15 juillet. Les biens récoltés seront transportés ce soir dans la province de Liège pour venir en aide aux sinistrés.
Une récolte d’urgence est organisée en ce moment à l’initiative de la présidente nationale des Jeunes CDH, Opaline Meunier à Mons Borinage et en région du Centre.
Opaline Meunier
La vente de l’ancienne maison communale crée la polémique
C’est un véritable chancre situé le long de la rue Grande à Maisères. On parle ici de l’ancienne maison communale, ainsi que du bâtiment situé à l’arrière et occupé par le musée de la vie locale, qui devraient disparaître. Le collège communal a décidé de vendre les deux bâtiments. En novembre 2019, le conseil communal avait déjà opté pour la vente du bâtiment administratif, il y a d’ailleurs eu une candidate à l’achat.
Pour l’opposition Mons en Mieux, ce dossier est une honte, selon la conseillère Opaline Meunier. « L’ancienne maison communale est dans un état lamentable suite à un manque de vigilance du collège communal de ces 20 dernières années », assène-t-elle. « Nos associations sont en demande de locaux. On aurait pu dépenser 225.000 pour réaliser les travaux. » C’est effectivement le montant de leur estimation réalisée par le géomètre expert.
Opaline Meunier, Nimy, Conseil communal
« Chez Théo », traiteur bien connu, va déménager
Hier soir, le conseil communal de Mons a marqué son accord (majorité contre opposition) sur l’offre relative à la location par bail emphytéotique de deux cellules commerciales dans la rue de la Coupe à Mons.
Mais dans l’opposition, Mons en Mieux s’étonne de la redevance annuelle que devra payer le locataire des deux commerces à la Ville, à savoir 3.744 € par an, soit 312 € par mois. « Ce n’est même pas le prix d’un kot », s’exclame la conseillère communale Opaline Meunier ! La location est prévue pour une durée de 50 ans.
Opaline Meunier, Conseil communal, Maternité commerciale
Nuisances sonores : la vitesse pourrait être limitée
À Maisières, Nimy, Obourg, Saint-Denis, mais aussi à Ciply (près du R5), les riverains n’en peuvent plus des nuisances sonores dues au trafic de l’autoroute. Pire, ils expliquent que depuis que des nouveaux panneaux antibruit ont été placés, les nuisances ont augmenté. En avril dernier, le ministre wallon de la Mobilité Philippe Henry avait pourtant répondu que des analyses avaient été réalisées sur place et qu’aucun souci n’avait été révélé. Mais les riverains n’en démordent pas, le bruit atteindrait parfois 80 décibels (ce qui est au-delà de la limite autorisée). Ils avaient même lancé une pétition pour obtenir un nouveau revêtement et une prolongation du mur.
Ce week-end, Mons en Mieux n’a pas tardé à réagir suite au communiqué de presse du collège. « Les riverains sont ignorés par le collège », peste Opaline Meunier, conseillère communale dans l’opposition. « J’ai déposé une motion et là, la ville commande une étude ! Des citoyens vivent avec 70 décibels jour et nuit, c’est comme si un aspirateur était allumé en permanence… »
Opaline Meunier, Nimy, Conseil communal
Mons en Mieux : « 500.000 € en 2 ans pour des décorations de Noël, c’est indécent ! »
Ce mardi soir, le conseil communal de Mons devait se prononcer sur l’acquisition de décorations de Noël pour la somme de 235.000 € TVAC. L’opposition Mons en Mieux estime que c’est trop d’argent dépensé. Mais le collège annonce d’ores et déjà d’autres achats de ce type… Ambiance, pas festive !
De son côté, Opaline Meunier a additionné les dépenses en guirlandes de Noël depuis 2017. « En 5 ans, on arrive quasi à un million d’euros. Cela représente des montants absolument indécents dans une région comme la nôtre qui a besoin de soutien pour son développement économique ! Oui, les dépenses pour les décorations ont été négligées par le passé à Mons, mais là c’est trop… »
Opaline Meunier, Conseil communal
Opaline Meunier : « Non, on ne veut pas phagocyter le cdH ! »
Opaline Meunier, membre du cdH à Mons et conseillère communale Mons en Mieux, confirme les démarches à l’égard des deux membres du cdH pour siéger au conseil de l’action sociale. « Nous avons d’abord proposé à Eric Bailly qui est membre de Mons en Mieux et qui, en tant qu’ancien échevin, était le candidat idéal », explique-t-elle. « Puis j’ai proposé Arnaud Piplart. On n’oblige personne, chacun est libre de sa décision. Il ne faut pas voir dans notre démarche une volonté de phagocyter le cdH. » Quant à Arnaud Piplart, qui a eu aussi des contacts avec Georges-Louis Bouchez, il motive son refus par « sa fidélité à ses engagements auprès d’Agora-cdH », tout en précisant qu’il n’est pas opposé à Mons en Mieux.
Opaline Meunier, Georges-Louis Bouchez, le cdH
Un appel à projets lancé aux Montois dès le 20 avril pour embellir leur quartier
Participer activement à la vie de votre quartier ! C’est l’objectif même du budget participatif que lance la Ville de Mons. Un appel à projets sera ouvert du 20 avril au 20 juin. Un jury devra ensuite les examiner. Le collège communal a prévu un budget de 135.000 € pour soutenir les projets retenus.Georges-Louis Bouchez.
Dans l’opposition, Mons en Mieux souhaite que la participation citoyenne aux décisions de la Ville soit étendue à d’autres thématiques « qui représentent des enjeux bien plus importants encore comme la mobilité, les projets immobiliers en cours, ou l’enseignement », intervient Opaline Meunier.
Opaline Meunier
Estelle Heyters-Caudron remplacera David Bouillon
La démission de David Bouillon du conseil communal permet à Mons en Mieux de récupérer un siège et ainsi de compter à nouveau 11 élus. Comme nous l’annoncions ce lundi, c’est Estelle Heyters-Caudron qui rejoindra le groupe emmené par Georges-Louis Bouchez.
Montoise, Estelle Heyters-Caudron travaille actuellement à la direction des ressources humaines de l’UMons. Elle sera la troisième femme à siéger parmi MeM. « C’est une femme qui a l’habitude des combats musclés », se réjouit Opaline Meunier, très heureuse de ce renfort féminin.
Opaline Meunier, Estelle Heyters-Caudron
« Gorille », « gros tas » : Opaline Meunier, conseillère communale, cyberharcelée
Au début du mois de mars, la conseillère communale Opaline Meunier déposait une motion sur le harcèlement de rue. Saluée par beaucoup, la démarche n’a cependant pas plu à certains. Depuis, la jeune femme se fait constamment harceler sur les réseaux sociaux. Une situation qu’elle n’hésite pas à dénoncer.
« C’est toujours le même profil : un mec style Jean-Jacques, 55-65 ans, qui est bousculé dans ses habitudes patriarcales. Les jeunes ne m’écrivent pas de trucs comme ça », constate Opaline Meunier. Malgré tout, elle ne regrette pas d’avoir proposé cette motion. « Au contraire. Ces hommes m’apportent la preuve que le combat pour l’égalité homme-femme est encore bien nécessaire et que beaucoup d’hommes sont imprégnés de violence verbale et sexiste à notre égard et qu’il ne faut rien lâcher », poursuit-elle. L’occasion de rappeler que ces infractions sont graves.« J’ai envie de m’adresser aux juges qui trop souvent mettent juste une petite tape sur les doigts et sont trop laxistes. Je vais porter plainte et j’espère que ces hommes seront punis. On ne se permet pas d’injurier une femme parce qu’on est obsédé par son corps. C’est un délit et il est temps que ça soit traité comme tel », ajoute Opaline Meunier.
Opaline Meunier, Sécurité
La Montoise Opaline Meunier pousse un coup de gueule contre le harcèlement sexiste en rue: «On n’est pas des morceaux de viande!» (vidéo)
Opération anti-sexisme dans les quartiers de la gare et du Marché aux Herbes, à Mons... La motion de la conseillère communale Opaline Meunier a passé la rampe et devrait se concrétiser prochainement par des actions policières, pour que les femmes se fassent moins embêter en rue...
La conseillère communale « Mons en Mieux » Opaline Meunier, également présidente des jeunes du CDH, propose qu’on s’y prenne à Mons comme à Liège pour lutter contre le harcèlement sexiste en rue La proposition intéresse la majorité et la police de Mons-Quévy va s’inspirer des collègues liégeois. Belle victoire pour la jeune conseillère (elle fêtera bientôt son 28ème anniversaire), qu’elle défend avec feu face à une avalanche de commentaires machistes...
Opaline Meunier, Sécurité
Bientôt une permanence sociale hebdomadaire
Opaline Meunier tiendra à partir de jeudi prochain ses propres permanences, permanences « sociales et citoyennes », dit-elle. « Je serai disponible pour les Montois ».Disponible pour quoi ? Pour tout problème de vie quotidienne mais la conseillère communale montoise pense en priorité à une guidance administrative et à une aide dans la rédaction de C.V. et de demandes d’emploi. Sans clientélisme, s’empresse-t-elle d’ajouter, « je refuserai toujours de faire passer un dossier au-dessus de la pile ; par contre, je vois beaucoup de gens qui ont un bon profil mais qui ne savent pas se mettre en avant. » Opaline Meunier pense aussi accueillir des personnes illettrées. Ce sera tous les jeudis de 18 à 20h à l’espace de co-working situé au numéro 2 de la rue d’Havré.
Opaline Meunier, Social
Opaline Meunier réclame des policières en civil pour coincer les harceleurs à Mons
Mater les machos les plus vulgaires qui embêtent les filles en rue à Mons : c’est l’objectif d’une motion qu’Opaline Meunier défendra au prochain conseil communal, mardi. Mais comment faire ? En appliquant une recette que Liège a expérimentée avec succès : pincer les harceleurs grâce à des policières en civil…
Conseillère communale « Mons en Mieux » (opposition) et aussi présidente nationale des jeunes CDH, Opaline Meunier présentera à Mons la motion élaborée par les sections « jeunes » et « femmes » de son parti. Le même texte sera présenté dans d’autres villes et communes. La motion ne se veut pas partisane du tout : elle vise simplement à faire appliquer la loi anti-sexisme de 2014, en s’inspirant de la bonne idée liégeoise. Elle demande la mise en place d’un « système de prévention et de répression des actes sexistes sur le territoire de la commune sur le modèle de l’opération conjointe entre la police et le parquet de Liège ».
Opaline Meunier, Sécurité
Un courrier d’avocat explicite
Dans notre article publié le 20 janvier dernier sur la subvention accordée à une proche d’Elio Di Rupo, Opaline Meunier posait des questions sur cet appel à projets lancé pour soutenir le secteur culturel. « Ce qui m’interpelle », disait la conseillère communale de Mons en Mieux, « c’est qu’une proche d’Elio Di Rupo bénéficie d’une aide ! » Dans le cas présent de 32.000 €.
Opaline Meunier ne compte pourtant pas se taire. « Démocratiquement, c’est scandaleux », dit-elle. « Je suis élue pour contrôler l’argent public et pour promouvoir des projets. C’est mon devoir. Je ne trouve pas normal, de faire taire, de museler ou de menacer les gens qui exercent leur mandat de mandataire et qui font leur travail. On peut m’envoyer tous les courriers, je continuerai à poser des questions et à révéler ce qui doit l’être ! »
Opaline Meunier, Elio Di Rupo
Mons: une subvention accordée à une proche d’Elio Di Rupo fait controverse
Comme nous l’annoncions ce mardi, Anne-Sophie Charle, ex-cheffe de cabinet d’Elio Di Rupo, a décidé de se reconvertir dans le privé et les produits cosmétiques, profitant d’une pause carrière. Et comme toute entreprise qui se lance, la jeune société a fait des démarches pour obtenir des subventions. Elle vient d’ailleurs d’obtenir 32.000 euros lors d’un appel à projets wallon. Reste que le concours (avec 673 candidats) était présidé par Elio Di Rupo lui-même. Opaline Meunier, conseillère communale Mons en Mieux, s’interroge donc.
« Moi, je soulève des questions, je n’accuse personne », déclare d’emblée Opaline Meunier, conseillère communale de Mons en Mieux. Ses interrogations portent sur un appel à projets lancé en novembre 2020 par la Région wallonne et organisé par ST’ART, un fonds d’investissement pour les entreprises créatives et culturelles. Dans le contexte actuel lié à la pandémie, les secteurs des industries culturelles et créatives ont particulièrement souffert. L’objectif du gouvernement wallon est de soutenir ces secteurs pendant la crise et après celle-ci « en faisant connaître nos talents, notre savoir-faire, notre patrimoine… tant en Belgique qu’à l’étranger. »
Opaline Meunier, Elio Di Rupo
Un sondage lancé par les jeunes CDH pointe le mal-être des étudiants
Voici quelques jours, Victoria, 18 ans, étudiante en psychologie à l’ULB lançait un cri de détresse sur les réseaux sociaux. Dans une lettre ouverte, la jeune femme témoignait de la souffrance liée à l’isolement que les étudiants subissent, suite à la crise du Covid et des mesures de confinement. Une nouvelle enquête lancée par la présidente des jeunes CDH, Opaline Meunier, tend à démontrer que les difficultés évoquées par Victoria sont partagées par une majorité des jeunes.
Les résultats de cette enquête seront transmis à la ministre Glatigny. « J’espère que les témoignages de ces jeunes sauront toucher le cœur de la ministre et que le gouvernement se souviendra que la santé mentale doit aussi être gérée en temps de crise » conclut Opaline Meunier.
Opaline Meunier




















